Makena O.Rockwell Only the truth counts Bitch and then ?
Nombre de messages : 361 Age : 35 Date d'inscription : 29/06/2008
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| Sujet: MAKENA OLIVIA ROCKWELL ♣ Et si l'enfer avait un nom? Dim 28 Mar - 12:27 | |
| MAKENA OLIVIA ROCKWELL21 ans ; 13 octobre 1989 ; étudiante en criminologie ; brésilienne-américaine ; Nina Dobrev SPIES OR GHOST? HISTOIRE MAUD ▬ Il faut que je te dise quelque chose. C'est grave oui en effet , certes c'est super important. Si tu ose lâché le combiner de ce foutue téléphone crois-moi je ferais de ta vie un enfer. Non justement je ne peux pas comprendre que tu sois en réunion ou examen pour être franche de toute manière je m'en fiche. Que je baisse d'un ton ? Non mais alors là tu rêve ta vie en couleur c'est complètement impossible. Oui bien évidemment je t'agresse. En plus tu me demande pourquoi. Parce que sombre crétin que tu es avec ton ingratitude tu m'a foutue en cloque. Ok. Oui oui non mais j'ai bien entendue tu te réjouie la mais tu es complètement malade ! Que tu crois. Jamais je ne deviendrais aussi énorme qu'une baleine. Sa suffit cette conversation est terminée. A plus tard spermatozoïde trop fertile ! Avant que j'oublie si toutes tes affaires se retrouvent devant la maison c'est normal excès d'hormones mon choux.
Simple conversation qui de toute évidence était des plus banales une petite discussion habituel entre un couple. En réalité c'était bien plus que cela. La jeune Maud étant prise de nombreuses nausées quotidienne la réponse impensable lui sauta aux yeux. Il y avait possibilité que celle-ci soit bel et bien enceinte, ce qui il fallait le dire ne l'enchantait pas plus que cela voir aucunement. Après avoir pris son courage à deux mains elle fit un de ces test stupides dans lesquels la réponse est tellement longue à venir que de lire dans l'avenir serait encore plus simple. Passons après confirmation sa première réaction n'était soit de se réjouir soit de pleurer comme si sa vie venait de se finir, non sa réaction fut de déblatéré toute une petite scène à la sauce Maud à son très cher compagnon prénommé Mathias. Elle était des plus énervée en effet depuis toujours elle avait hormis le fait qu'elle pouvait être enceinte c'était comme si être mère pour elle était inconcevable. Aujourd'hui elle devait faire avec, et surtout accepter qu'un embryon grandisse et lui fasse perdre sa taille de guêpe. C'était la plus grosse tuile qui pouvait lui tombée sur la tête. Autant dire que Mathias de son côté s'attendait à bien pire en entendant le très sérieux « Il faut que j'te dise quelque chose. » qui sonnait plus comme un il faut qu'on parle - je te quitte et c'est toi qui quitte les lieux. En effet c'était visiblement celui des deux qui prenait cet évènement de manière très relax. Pour lui c'était une sorte de bénédiction ou de signe du destin comme quoi ils devaient être ensemble. Mathias croyait beaucoup au destin c'était un pure psychotique et inquiétant parfois mais il avait certainement raison de s'accrocher à ses conviction, la preuve étant la suivante son couple battant de l'aile depuis quelques jour ne sera que renforcés par ce qui venait de leurs tomber dessus. Toute cette histoire de grossesse étant clair entre eux. Une question vint alors à l'esprit de chacun quelques temps plus tard. Avortement ou non ? Ils étaient tout deux un peu trop jeunes et incompétent pour élever un enfin mais après réflexion ils étaient assez mure pour pouvoir s'en sortir un minimum. De plus leurs richissimes familles suivaient bien derrières et seraient là pour tout prendre en charge des biberons en passant par les frais de la chambre du bébé. Cette question était pour le moment mise en suspension. Pour l'instant une seule et unique grande émotion dans la journée était fort suffisante.
Quelques jours plus tard en réalité la situation n'était que des plus pires. Les nausées persistantes devenaient des plus lourdes à supportés. Le bruit et certains comportement devenait insupportable pour Maud de nature déjà assez gonflante et capricieuse pour parler en toute franchise. Les caprices parlons-en cela ne devait faire que deux ou trois bons mois qu'elle était enceinte et on aurait déjà dit qu'elle était bien dans le bain , elle savait que Mathias ne pourrait rien lui refusé du moins s'abstiendrait de lui refusé des choses inhabituel, elle le savait et elle en jouait. La preuve étant cet être diabolique l'envoya à plusieurs reprises lui acheter de la glace à la fraise ou toute autre connerie au supermarché à 2o minutes de là dans les environs de 2h24 du matin sous prétexte que son envie de fraise devait dépassé l'envie/besoin de dormir que pouvait ressentir Mathias. Elle avait toujours été difficile à vivre et complètement révoltante parfois mais il savait depuis bien longtemps dans quoi il s'engageait avec elle, alors il ne pouvait aucunement se permettre de se plaindre d'une quelconque manière. Quand à elle, il semblerait que son besoin de vengeance envers son compagnon soit des plus intense et de ce fait elle avait trouver le plus grand moyen de pression « Fais ce que je te dis. Ne m'impose pas de stress. Pense au bébé. ». Exaspérant mais Maud avait toujours été ainsi, des plus manipulatrices. Il semblerait que cette grossesse si arrivée à terme ne serait pas des plus simples et appréciable. D'ailleurs parlons pratique. Avortement , Adoption ou non ? Tel était la question.
MAUD ▬ Mathias, tu sais, on fait tout les deux comme si de rien n'était. Mais je pense que c'est le bon moment pour qu'on joue la carte du sérieux. MATHIAS ▬ De quoi tu parle ? MAUD ▬ Tu pense vraiment qu'on y arrivera à élevé un enfant ? On a déjà du mal à survivre sans nous entretuée alors pour le reste je n'imagine même pas ! MATHIAS ▬ Pourquoi cette question ? J'avais l'impression que c'était clair, je refuse catégoriquement que tu ne pense une seule seconde que je te laisse avortée ou bien adoptée c'est hors de question et tu verra on y arrivera.
Pour une fois l'autorité de Mathias était bien plus grande et imposante que celle de Maud. C'était bien l'une des rares fois où il dominait sur la jeune femme. De ce fait comme vous aurez pu le comprendre et cela va de soit l'hypothèse hypothétique de ne pas garder cet enfant était totalement projeté hors du scénario de leurs vie. Les mois passèrent et il fallait avouer que les jours étaient tous plus dures les uns que les autres. Maud prenait abondamment du poids et elle en devenait des plus irritable. Elle voulait constamment faire preuve d'hyper-activité plutôt que de ce reposée. Tout ce qui était grenouillère ou encore peluche, tout était au point. La seule chose qui ne l'était pas c'était sans doute leurs compétences en matière de parents. C'était totalement normal et compréhensible qu'ils aient tout deux un grand stress de ne pas être à la hauteur mais au fond qui ne la jamais été lors de la venue de son premier enfant. Enfin passons, au fond tout ce qui se passait était devenue la routine. Vomissements, envie soudaine de x choses, sautes d'humeur. Ce n'était que normal dans le processus de la grossesse. Tout était normal sauf un soir. Ce jour là comme de bien entendu Mathias était loin ou plutôt au travail, Maud quand à elle se contentait de se goinfré de fraise devant un navet télévisée. Son ventre la faisant anormalement souffrir elle crut pour commencé à une fausse alerte ce qui était routinier, se levant donc pour arriver jusqu'à ses anti-douleur elle remarqua une chose qui lui foutue complètement la frousse. Elle crut que ses jambes ne pourraient plus supporter son corps et que tout ce que son cerveau et son corps n'étaient plus coordonnés. Elle venait de perdre les eaux et bien que préparés psychologiquement elle pensait que cela se passerait avec Mathias pas loin. Seulement elle était seule et la souffrance prenait le dessus.
MAUD ▬ Ahh mon dieux Mathias dépêche toi immédiatement de ramener tes fesses et de m'emmener à l'hôpital. MATHIAS ▬ Hein ? MAUD ▬ Rentre immédiatement bordel où je vais finir par accouchée sur la moquette de notre chambre c'est plus clair là ?!
C'était un fait Mathias était quelques peu long à la détente et Maud était des plus vulgaire comme quoi les opposés s'attirent. Enfin ce n'était pas le sujet. Aujourd'hui le 31 octobre 1989 la période de sa naissance ayant été prévu lors de sa conception, ce ne fut en rien une grosse surprise. Au contraire puisque sa mère - avec une idée venue de son cerveau loufoque - voulut qu’elle naisse le jour d'halloween, aller savoir pourquoi !? Résultat : elle y parvenu en menaçant le médecin si jamais il refusait de la faire sortir ce jour précis. Donc, dans les environs de 2h01 du matin et oui Mathias travaillait quelques fois de nuit, vint au monde après des heures de souffrances pour sa mère, la jeune Makena Olivia Rockwell. Petite brunette aux yeux d'un marron transparent virant parfois au noisette magnifique. Au final ils avaient bien fait de garder le bébé car ce jour hormis leurs unions futur était le plus beau de leurs vie.
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MAKENA ▬ Tony, elle rentre quand ma maman ? TONY ▬ Elle rentre dans deux heures, pourquoi ? MAKENA ▬ Elle s’en fiche de MOI de toute manière !
Il était dans les environs de midi quand la jolie Makena Olivia Rockwell était dans la cuisine entrain de manger une danette au chocolat en compagnie de son cousin Tony qui était souvent là pour s'occupe d'elle et se demandait bien ce que sa mère pouvait faire. Elle était certes âgée de six ans mais elle restait réaliste sa mère préférait sortir plutôt que d’être avec sa fille alors qu’on était en plein dans des périodes de fête enfin plutôt la fête des mères. C’était quelque chose d’important aux yeux de Makena car c’était une des rares fois où sa mère venait habité la maison des Rockwell. Elle ne pouvait donc plus tenir et ne lui avait toujours pas trouvé son cadeau enfin pour elle un objet acheté avec de l’argent qui croulait de son mini porte monnaie n’était pas un cadeau qui venait du cœur il lui fallait quelques chose de plus dans le genre un dessin ou une création. C’est ainsi que notre petite brune pleine de malice décida de faire un dessin grandeur nature à sa très chère mère espérant que cela lui ferait énormément plaisir. Après le repas alors qu’elle était tranquillement dans sa chambre entrain de regarder Alice Aux Pays Des Merveilles elle sortit tout d’un coup de celle –ci ses pastels, crayons de couleurs et feutre sous le bras pendant que son cousin jouait à un jeu vidéo débile qui lui abrutissait l’esprit. Elle déboulât donc dans le couloir toute joyeuse et surtout le moins discrètement possible alors que cela était censé resté une surprise que sa mère serait la première à découvrir.
TONY ▬ Makena, qu’est –ce que tu mijote encore ? MAKENA ▬ On a même plus le droit d’avoir envie de boire du jus d’orange dans cette maison. TONY ▬ Ouais, okay. Fait moins de bruit à l’avenir on aurait dit un troupeau d’éléphant dans le couloir.
Elle descendit donc l’escalier de marbres et pénétra dans le salon, munit de ses outils de travail. Elle commença à dessiner sur le magnifique papier peint fait sur mesure de sa mère. Elle dessina le genre de dessin qu’une jeune enfant de 6 ans est capable de faire autrement dit un énorme soleil qui sourit des bonhommes qui sont semblables à des ovnis une maison difforme et de la verdure de partout avec des nuages en formes de barbe à papa. Son t-shirt ainsi que ses mains était plein de crayons, de feutre et de peinture quand l’ascensceur qui servait accessoirement de porte d’entrée s’ouvrit laissant apparaitre Mme Rockwell plus épuisée que jamais. Makena arriva dans le hall de sa maison en courant, tout comme Tony qui avait arrêter de jouer à son jeux. En voyant l’état des vêtements de Makena, il s’attendait vraiment au pire et le pire était à venir. Mme Rockwell qui aurait dut être heureuse de voir sa fille, ne fut bien évidemment pas très heureuse de ce qu’elle voyait.
MAKENA ▬ Surprise ! MAUD ▬ Makena Olivia Rockwell !! As-tu perdue l’esprit ? MAKENA ▬ Tu trouve ça… MAUD ▬ File dans ta chambre ! MAKENA ▬ Mais… maiis… MAUD ▬ Il n’y a pas de mais qui tienne, monte dans ta chambre IMMÉDIATEMENT !
Elle gravit donc les marches de marbres, ses jolies petit yeux noisette remplit de larmes, elle se changea et se nettoya les mains. Après tout sa mère n’était pas obligé de lui parler ainsi tout ce qu’elle souhaitait c’était juste lui faire plaisir. Mais sa mère en avait décidé autrement c’est ainsi qu’elle commença à la détesté pour une histoire débile de papier peint d’autant plus que le lendemain matin un nouveau papier peint qui se trouvait être exactement le même que l’ancien avait été posée dans la chambre alors il ne fallait pas en faire toute une histoire.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - INCONNUE ▬ Miss Rockwell ? MAKENA ▬ C'est bien moi. Fit-elle de sa voix mélancolique d'enfant de treize ans, qui n'avait pas compris ce qui venait d'interrompre son deuxième cours d'anglais de la mâtiné. Que ce passe t-il ? INCONNUE ▬ Ne vous inquiétez pas mademoiselle, ce n'est rien de très bien grave. MADAME ROCKWELL ▬ Ma chérie, on va pas tourner autour du pot, il fallait bien qu'on te le dise un jour ou l'autre. Alors, voilà, ton père et moi avons appartenu à un organisme appelé Spies, une agence d'espions, et nous souhaitons que tu l'intègre à ton tour en notre honore.
Tous en fronçant les sourcils vers le haut, à demi sourire, elle rentra dans ce grand bureau lugubre, sentant l'odeur macabre d'une cigarette non consumée. C'est dans ces locaux administratifs, qu'elle apprit une chose sur ses parents, à l'époque, ils ont fait parti d'un organisme d'espion sur-expérimenter nommé Spies. Un détail livré par un membre de cette organisme secrète et ses parents.
MAKENA ▬ Y a pas un qui s'intéressait à moi dans cette putain de famille. Et maintenant, qu'on me demande de faire partie des Spies tout un coup, vous avez du temps pour moi ! Au diable votre agence secrète ! Cracha t-elle, un sourire exténué et des larmes apparurent sur le magnifique visage ovale de miss Rockwell. Jusque là, elle n'avait jamais réalisé le manque imprenable qui creusait un faussé entre elle et ses parents. INCONNUE ▬ Je peux comprendre que ce soit difficile à comprendre pour une jeune fille de ton âge mais Makena tel est ton destin ! MAKENA ▬ Je vais prendre l'air !
Elle quitta la pièce enfumé en larme les abandonnant en plein milieu de cette conservation qui semblait importante. Ce n'était plus là Makena insouciante et heureuse, mais une Makena assez spéciale, après 13 ans passé dans le mensonge, elle était exténué du coup de massue qu'on venait de lui infligé. Elle n'irait pas dans cet stupide organisme, c'était une chose certaine.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Par un beau jour ensoleillé, dans un grande villa de Vegas, on entend tout un vacarme. Des gens courent partout sans aucune raison. À l'étage, un homme très bien vêtu et à la stature droite cogne à une porte avec force.
MONSIEUR ROCKWELL ▬ Makena ! Debout, tu vas manquer ton avion ! MAKENA ▬ Mouais, mouais ! J'arrive !
Tout de suite après avoir entendu cette voix, on entend un grand "boom" suivi d'un "aïe". L'homme soupire et se dirige vers le rez-de-chaussée, laissant sa fille seule à se battre dans le désordre de sa chambre. Après quelques minutes, on entend une valise se fermer et des bruits de pas. Soudain, la porte s'ouvre sur la magnifique Makena. Elle descend lentement les escaliers luxueux avec sa valise au bout des bras. Elle sort sur le porche du manoir où une limousine l'attend avec toute sa famille. Un serviteur prend la valise de Makena et va la porter à la voiture alors qu'elle va s'installait dans la limo sans prendre le temps de dire au revoir à ces parents.
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MAKENA ▬ Je ne dirais rien. J'voulais déjà pas être ici, hein, alors ... JEUNE FEMME ▬ Mlle Rocwell, si vous êtes ici, c'est sans doute pour une bonne raison. De toute manière cela vous ne coûte rien de parler, n'est-ce pas ? MAKENA ▬ Non, juste quelques dollars. Rien de bien important, n'est-ce pas ?
Le psychologue, mal à l'aise, c'est marrant à voir, car généralement ils ne sourcillent même pas ces êtres-là. Quoi, elle ne les prend pas pour des humains ? Tout à fait, à dix neuf ans, elle n'a pas que ça à faire, à perdre son temps dans de telles futilités avec une personne sans cœur. Si les tragédies ça leur plait, ils ont qu'à aller voir au cinoche', pas besoin de personnes assise à vous regarder droit dans les yeux sans sourcier d'un air ennuyé. Cependant, elle ne lâchait pas l'affaire et ça faisait déjà la troisième séance qu'il se répétait sans cesse. Pour récompenser sa bravoure et surtout pour avoir la paix, enfin, elle finit par lâcher prise, de toute manière personne ne saurait qu'elle aurait finalement cédé, n'est-ce pas.
MAKENA ▬ Très bien, je suis la fille que les gens aiment détester, plus souvent insultée que complimentée. Il est parfois difficile de me cerner. Tout dépend de la personne cherchant à le faire. Ce bout de texte sera suffisant. Questionnez-moi s'il le faut, raconter ma vie n'a jamais fait parti de mes passe-temps favoris. De toutes manières, vous n'avez pas besoin de savoir qui je suis, je ne veux pas que vous sachiez qui je suis. « La plupart des gens passent leur vie à rétablir la paix. Mais c'est inutile, parce que l'humanité se détruit de jour en jour. Pour nous, il est superflu de continuer à vivre normalement. On vit comme des cons et nous sommes tous condamnés à la mort. Personne ne sait ce qu'il y a derrière ça, mais quelle importance ? Nous le serons le moment venu, tôt ou tard.
CARACTÈRE Maken c'est en quelques sortes la brune ténébreuse indéchiffrable. Personne n'est capable de comprendre la complexitude de son esprit. Si on devait la décrire en un mot ce serait certainement "fascinante". En effet elle est tellement surprenante qu'elle en devient fascinante par sa mystériosité fort inquiétante. Il est impossible de l'influencer dans quoi que ce soit. Makena semble inoffensif aux premiers abords. Elle ne parle pas ou quasiment pas, mais en réalité il n'en est rien. Elle a un caractère assez trempé, et c'est peu de le dire. Makena ne peut s'empêcher de vouloir être la première, en toute chose. Personne ne le lui fait remarquer, mais tout le monde le voit. Elle ne supporte de ne pas réussir, elle repousse toujours ses limites. Le simple fait d'entendre le mot "échouer " lui donne des boutons. Lorsque cela lui arrive, d'échoué, elle devient d'une humeur massacrante. Elle ne dément rien, elle a échoué point barre. C'est quelque chose qu'elle peut admettre, mais qui la met dans un état plutôt effrayant. Mais, pour tout vous dire : elle n'échoue que très rarement. Makena a toujours, ou presque, le dernier mot, vous savez le genre de phrase qui tue et à laquelle vous ne pouvez rien répliquer. Encore quelque chose où elle excelle. Pour avoir ce qu'elle veut, quelque soit l'enjeu, elle est prête à faire beaucoup. Beaucoup trop parfois, certes. Ses amis, elle peut les trahir ; ses ennemies, elle peut les faire chanter ; sa famille, elle peut la rabaisser. La liste est longue, et je n'arriverais jamais à tout citer. Mais je pense que vous avez déjà, ne serait-ce qu'une petite idée de l'ampleur de la chose. Vous ne la retrouverez qu'aux côtés de ceux qu'elle considère comme des gagnants. En sachant que ces derniers ne le reste jamais bien longtemps. Ainsi, elle a plus d'ennemis que d'amis. Les personnes en qu'elle considère réellement comme des amis, des vrais, ne sont qu'une petite minorité. Plus souvent insultée que complimentée, elle suit son chemin. Tranquillement, écrasant les autres à son passage, tel de petits moustiques dérangeants. Cynique, mesquine et provocatrice, elle rabaisse beaucoup de monde, et ne dément jamais avoir fait quelque chose : « - C'est toi qui ma renversé ce p*tin de verre d'eau sur la tête ? ; - Moi ? Mais bien évidemment mon chou, qui d'autre ? » C'est à mourir de rire, hormis pour celui qu'elle ridiculise. N'aimant pas en venir aux poings, elle peut tout de même se révéler assez dangereuse. Mais elle préfère les mots. Eux qui font parfois bien plus mal. J'ai bien dit "parfois". Impolie et imprévisible, tout le monde peut y passer. Et peu de personne peuvent la calmer. De plus, excessive comme elle, ça n'arrange rien. Elle peut très bien s'énerver pour rien, sans la moindre raison. Il lui arrive d'avoir des réelles envies de meurtres mais pas pour rire, hein ! Juste pour voir ce que ça fait. Cependant, DIEU MERCI. Elle n'ait encore jamais passé à l'acte. La plupart de son entourage la juge comme étant totalement folle. Je vous entend penser... Vous vous dîtes : « Et bah dit donc, quelle énergumène celle-là ! ». Elle se considère comme la meilleure en tous points. Et commence régulièrement ses phrases pas « Moi je... ». Dans tout les cas, elle est meilleure que vous.
J'ai quelque peu changer le caractère de Makena qui était décrit dans les postes vacants, j'espère que ça dérange pas ?
VIE SOCIALE En général, j'ai de bonnes relations avec les filles de mon âge ou plus jeune. C'est pas toujours le grand amour car je trouve que lorsque l'on traine avec des filles, il y a beaucoup de problèmes inutiles. Mais c'est quand même plus drôle du shopping avec une fille hein ! Je ne suis pas un garçon manqué mais j'ai toujours préféré rester avec un garçon, mes meilleurs amis sont souvent des garçons que des filles. Je les trouve plus sincère et moins énervant que les filles. Il y a des exceptions parce que il y en a qui sont vraiment énervant mais en général : Tous les garçons ne sont pas des connards. Du moins,c'est ce que je pense.
ANGEL OR DEVIL ? prénom ? sacha age et sexe ? 21 ans&fille comment tu as connu le forum ? Grâce à mon ancien compte ft Brooke Simmons comment tu le trouves ? Toujours aussi beau ;) une remarque ? Ben je suis honorée de voir qu'il y a mon smiley fétiche :
Dernière édition par Makena O.Rockwell le Ven 2 Avr - 20:49, édité 41 fois | |
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